la journée c'est un peu comme une construction.
Chaque étape a son petit bloc à hisser sur le bloc précédent.
Plus c'est pénible, plus c'est gros,
plus c'est compliqué, plus c'est instable,
plus y en a, moins c'est bien.
(Quoique parfois, plus y en a, plus on a l'impression d'avoir bien bossé! tudieu!)
Ma journée c'est du kapla.
Démonstration :
ça commence par le bas.
Que ceux qui s'imaginent que je démarre la journée
en éteignant la lumière et en roupillant une brique sont priés de sortir immédiatement.
Il y a eu en mars 2011 une journée assez particulière
qui a été comme mon chef d’œuvre de compagnon.
Voyez plutôt :
est restée dans toutes les mémoires,
inutile de dire qu'elle fut aussi
mémorable qu'unique.
J'ai bien peur de vous
annoncer que mon quotidien
reste dans le massif :